Le moyens orient et l’Afrique du
nord, ont mis un plan très ambitieux
pour migrer vers l’adoption des sources d’énergie propre à savoir
l’éolien et le solaire et ceci dans environ dix à douze ans maximum, en tout
cas c’est ce que confirment des
chercheurs de l'Université de Technologie de Lappeenranta (LUT)
Les statistique montrent que le cout
d’une énergie nucléaire est de 110 euros par MW, celle issu des carbones et
fossile coute 120 euros par MW, alors que celle produite du soleil coute
environ 50 euros par MW et ces chiffres vont surement descendre au fil des
années.
A noter que le cout de l’énergie
éolienne et solaire baissera forcement encore et encore si on arrive à lier les
différents sources de production de cette énergie dans une boucle , ce qui
permettra sans doute de véhiculer les excès d’énergie à des pays et des zones
lointaines et qui souffrent de manque de production, et/ou de place pour les
installations alloués à la production d’une telle énergie.
La transition du système électrique
actuel à base d’énergie fossile vers un système entièrement renouvelable et
propre couvrira certainement les besoins énergétiques de cette zone du globe
qui est marqué par une population jeune et croissante avec des besoins
énergétique qui ne cessent de se développer dans les années à venir
L’Iran le géant pétrolier souligne
que ses besoins énergétiques et ses ambitions
dans l’avenir sont :
Produire 49 GW d’énergie à base de
panneaux photovoltaïque, 77 GW d’énergie à base d’équipements éolien, et 21 GW
d’hydro-électricité
Les installations pour produire
l’hydro-électricité sont déjà existante et en production, mais l’Iran a besoin d’énorme
investissement pour construire les unités de production solaires et éoliennes.
La superficie et la nature
géographique des terres de l’Iran permettent d’installer les panneaux solaires
presque partout dans le pays et les éoliens dans beaucoup de régions, ce qui
réduira certainement le cout d’investissement de ces technologies, à savoir que
ces sources peuvent facilement être liés
aux unités de production d’énergie existante puisque ses dernières sont tous
simplement des centrales
hydroélectriques et de centrales flexibles à gaz naturel.
Les chercheurs travaillent en même
temps sur autre un projet aussi très
important qui est celui du raffinage du pétrole qui remplacera les combustibles
fossiles par des produits synthétiques à base de dioxyde de carbone,
d’électricité et d’eau. Ceci donnera certes une opportunité pour les secteurs
de transports, l’aviation et le matériel médicale qui sont difficiles à dé-carboniser
puisqu’on ne peut pas remplacer les batteries existantes par des batteries
lourdes solaire semblable aux technologies actuellement disponible.
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